L'UE peut autoriser une éventuelle baisse de la TVA des carburants

L'Union Européenne UE autorise les chefs d'État à effectuer une baisse de tous les produits de première nécessité à 5,5%, y compris l'essence, le gazole, l'électricité, mais #Emmanuel_Macron est contre une telle baisse 


Bien que les analystes s’attendissent à ce quasi-statu quo, les attentes étaient énormes après que le pétrole a atteint des sommets historiques établis lors de la crise financière de 2008 et le 7 mars 2022, pour la première fois le baril dépassant 130 $ US dollars le baril.



Depuis, les prix ont considérablement baissé, même s'ils restent élevés et certains Etats ont profité pour augmenter la Taxe TICPE et autres taxes d’Emmanuel Macron pèsent lourd sur le budget des ménages au point qu’aujourd’hui 31 mars 2022, les femmes de ménage doivent choisir ou acheter de Carburant ou acheter de la nourriture qui a aussi augmenté par la répercussion de la hausse des carburants. 

Les Taxes perçues par Emmanuel Macron sur le carburant pour vous déplacer sont de 60% du prix du carburant  à la pompe, parmi les taxes qui font mal aux budgets des ménages la TICPE  + la TGAP (Taxe Générale sur les activités Polluantes) et la TVA 20% à ajouter au carburant du prix affiché et payé au litre qui varie en fonction du prix du baril du pétrole et qui ne cesse d’augmenter depuis l’invasion de conquêtes de l’Ukraine par Poutine. 

Donc ce qui fait le plus mal aux ménages, c'est la fiscalité d’Emmanuel Macron qui représentent au total 60%. C'est une spéculation délibérée pour faire monter les prix et se remplir les poches. La France est une grande Nation. Les producteurs de pétrole peuvent aussi aider en baisant le prix du baril. Et les Français peuvent faire des économies de carburant, Et aussi pour la réduction de notre consommation d'énergie. 



La seule manière de baisser le prix de l’essence, c'est  de baisser le prix du baril ! Ce qui n’arrange pas trop les producteurs de pétrole de l'OPEP qui ont annoncé aujourd’hui jeudi, comme prévu, une légère augmentation de leur production de brut, ignorant les appels à atténuer la pression sur les prix de la guerre en Ukraine. 



Les représentants des 13 membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et de ses dix alliés, menés par la Russie, se sont mis d'accord pour « ajuster à la hausse la production mensuelle totale de 432 000 barils par jour (bpj) pour le mois de mai », a-t-il déclaré.

Cette augmentation n'est que légèrement supérieure à celle décidée (400 000 bpj) les mois précédents. Bien que les analystes s’attendissent à ce quasi-statu quo, les attentes étaient énormes après que le pétrole a atteint les records historiques atteints lors de la crise financière de 2008 le 7 mars, lorsqu'il a dépassé 130 dollars le baril. 

Depuis, les prix ont considérablement baissé, même s'ils restent élevés. Ce jeudi, le Brent de la mer du Nord, le pétrole de référence en Europe, a chuté de 5,08 % à 107,69 $ le baril, tandis que le WTI américain a perdu 5,43 % à 101,96 $.

Et puis face à l’initiative sans précédent des États-Unis La Maison Blanche doit annoncer ce jeudi un plan visant à libérer jusqu'à un million de barils par jour de ses réserves stratégiques pour freiner l'inflation, selon les informations de l'agence Bloomberg, citant des sources proches du dossier. 

« Au total, ils puiseront 180 millions de barils dans leurs réserves, ce qui serait sans précédent », estime Carsten Fritsch, analyste chez Commerzbank. Si ce déblocage se produisait effectivement, « le marché pétrolier ne serait plus mal approvisionné ».

Cela signifierait un changement de paradigme, puisque la guerre a fait craindre la fin possible des approvisionnements pétroliers russes et une fébrilité conséquente sur les marchés. Or, pour l'OPEP+ (qui est née en 2016 dans une optique de régulation des marchés) « la volatilité actuelle n'est pas due à une pénurie d'offre, « mais aux événements géopolitiques en cours », selon ses membres dans le communiqué. Ainsi, l’OPEP reste insensible aux appels grandissants de la communauté internationale, notamment après la décision des États-Unis et du Royaume-Uni (producteur de pétrole) de cesser leurs importations de pétrole en provenance de Russie, deuxième exportateur mondial de pétrole après l'Arabie saoudite.

L'Agence internationale de l'énergie, qui avait précédemment qualifié l'attitude de l'organisation de « décevante », avait demandé à l'OPEP d'être du « bon côté ». Un message similaire est venu du G7 alors que le Premier ministre britannique se rendait à Riyad. Mais en vain : les pays du Golfe rechignent actuellement à céder aux exigences occidentales. L'alliance OPEP, loin d'être déstabilisée par le conflit, semble plus solide que jamais. « Il est là pour rester », a déclaré lundi le ministre de l'Énergie des Émirats Arabes Unis, le Suhail al-Mazruei, déterminé à ne pas laisser la « politique » décimer l'organisation.

Son homologue saoudien Abdulaziz bin Salmán a assuré que si cette organisation n'existait pas, « nous ne pourrions pas avoir de stabilité sur le marché de l'énergie » et « la volatilité des prix serait encore pire ». Selon de nombreux experts, une intervention saoudienne sur les marchés serait perçue comme une trahison par la Russie car elle l'empêcherait d'utiliser ses exportations d'hydrocarbures pour faire pression sur les pays occidentaux.


 

 

 

 

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