#Facturation, procédure d’exonération et de secret, dans la délivrance d’un contraceptif aux mineures 12-14 ans dans le logiciel de facturation du pharmacien à l’assurance maladie


La #contraception est désormais gratuite pour les moins de 15 ans. Près de 1 800 grossesses chaque année concernent des 12-14 ans, 1300 se terminant par un #IVG #avortement #EmmanuelMacron souhaite une bonne #Rentrée2020 à tous les écoliers. Il compte sur eux pour « dès demain, respecter les #gestesbarrieres ». « Le #virus est toujours là » martèle-t-il. #Rentrée #COVID19 avec la #contracéption gratuite pour les #12_14_ans



Bien que les grossesses et les taux de natalité chez les adolescentes aux en France et pays de l’Union Européenne aient diminué régulièrement depuis 1990, La France est un pays toujours en tête du monde développé dans ces statistiques difficiles. C’est pourquoi le gouvernement d’Enmmanuel Macron à partir du 1er septembre la contraception (les pillules) est gratuite pour les adolescents  de 12 à 14 ans. C’était la volonté du gouvernement depuis de nombreux mois, mais c’est désormais officiel : les frais liés à la contraception des jeunes filles de moins de 15 ans seront désormais pris en charge à 100% par l'Assurance maladie, selon un décret publié jeudi 27 août au Journal officiel. Inscrite dans le budget de la Sécurité sociale pour 2020, cette mesure restait suspendue à la parution de ce décret, qui entrera en vigueur vendredi.



Les mineures de moins de 15 ans n'auront désormais plus à s'acquitter du "ticket modérateur" pour les consultations de médecins ou sages-femmes, les examens biologiques, les médicaments et les dispositifs contraceptifs. Cette gratuité était déjà accordée depuis 2013 à leurs aînées de 15 à 17 ans, dont le taux de recours à l'IVG (interruption volontaire de grossesse) a nettement baissé depuis, passant de 9,5 à 6 pour 1.000 entre 2012 et 2018.

 Parce que 82% des grossesses et des naissances chez les adolescentes ne sont pas planifiées et presque toujours non désirées. Ils perturbent souvent l'éducation et les objectifs de vie d'une fille et aboutissent parfois à des mariages par balle avec une faible survie à long terme.

L'avortement, qui a diminué avec les grossesses, ne représente pas non plus le nombre de naissances chez les adolescentes et plus de 1300 se terminant par un #IVG.

Au contraire, les données indiquent que  plus les adolescents utilisent desormais la pillule contraceptiveLa contraception les protège lorsqu'ils ont des relations sexuelles. Pourtant, trop de personnes n'utilisent pas les méthodes les plus efficaces ou ne les utilisent pas correctement ou de manière incohérente, ce qui entraîne des grossesses intempestives ou non désirées. Même les adolescents informés peuvent avoir des difficultés à accéder aux contraceptifs.  En France la moitié des adolescents de 12-14 ans ont affirmé le droit des mineurs à la contraception, les autres n'autorisent explicitement que certaines catégories de mineurs à consentir à des services de contraception.

Les préservatifs, vendus sans ordonnance et parfois distribués gratuitement dans les écoles, sont les contraceptifs les plus fréquemment utilisés par les adolescents. Mais s'ils sont essentiels pour prévenir les infections sexuellement transmissibles, dans la pratique, les préservatifs sont parmi les moyens les plus pauvres de prévenir la grossesse mieux que le sevrage. Actuellement, les méthodes les plus efficaces  les contraceptifs réversibles à action prolongée sont les moins utilisées par les adolescents.

Les adolescents d'aujourd'hui reçoivent beaucoup plus d'informations sur les maladies sexuellement transmissibles dans les classes d'éducation sanitaire à l'école que sur la prévention de la grossesse. Ils ne réalisent pas à quel point il est très facile pour une adolescente de tomber enceinte. Seulement cinq à huit actes de relations sexuelles non protégées entraîneraient une grossesse. Une fille peut tomber enceinte même sans avoir de rapports sexuels. Notre biologie est mise en place pour la favoriser.


Parler de sexe avec des adultes est souvent embarrassant pour les adolescents et difficile pour leurs parents, qui peuvent laisser aux enseignants et aux médecins le soin de fournir les détails nécessaires. En effet, certains peuvent obtenir leurs informations subrepticement en regardant la pornographie ou en buvant de l’alcool, ou en vacances à la plage, bref ils se disent ce ne sont que des vacances et du bo,n temps. Bien que les écoles puissent reconnaître l’importance de la prévention des grossesses chez les adolescentes, elles sont souvent gênées par la croyance erronée selon laquelle informer les jeunes sur la contraception peut les encourager à devenir sexuellement actifs.


Il faut que les parents parlent du sexe aux enfants et même leur donner des préservatifs ne les fait pas avoir des relations sexuelles plus tôt.  Cela réduit les chances que les parents deviennent tout-à-coup des grande mère et grand père


Le fait est que, avec ou sans éducation sexuelle, environ la moitié des aînés du secondaire sont déjà devenus sexuellement actifs et ont besoin d'informations précises et à jour et d'un accès à une contraception efficace. De plus, les adolescentes qui ne sont pas suffisamment informées sur la prévention de la grossesse ou qui ne sont informées que de l'abstinence sont plus susceptibles de tomber enceintes que celles qui sont informées des options de contraception, y compris la contraception d'urgence, et comment les obtenir. Le coût peut être un facteur.

 

 

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